Les bad buzz, ces catastrophes virales sur les réseaux sociaux, hantent les entreprises comme des cauchemars récurrents. Malgré des campagnes de communication soigneusement élaborées, certaines marques ont réussi à s’attirer la colère des consommateurs à une vitesse hallucinante.
À l’agence on se pose des milliers de questions ! Comment diable ces publicités ont-elles pu voir le jour ? C’est à se demander si une équipe créative a été recrutée dans un club de comiques ratés ou si les idées farfelues ont été sélectionnées au hasard. Quoiqu’il en soit, les bad buzz que nous allons voire semblent tout droit sortis d’une conspiration diabolique pour saboter la réputation des marques concernées.
7 bad buzz qui ont marqué les médias ces derrières années
Perrier – J’en ai jamais vues d’aussi longues
Eh oui, vous avez bien lu l’accroche…
La célèbre marque d’eau gazeuse s’est retrouvée au cœur d’une polémique avec son accroche audacieuse et suggestive. La campagne a provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux et a été retirée en vitesse. On se demande qui a validé cette idée sexiste et déplacée. En espérant ne plus revoir ce type de contenu choquant de la part de Perrier.
Balenciaga – Enfants et Bondage ne font pas bon ménage
Pourtant spécialiste de buzz en tout genre, cette campagne de la marque Balenciaga a mis le feu aux poudres. Des mises en scène surréalistes où des enfants se retrouvent avec des éléments tous droit sortis du film « 50 nuances de Grey ». Une communication carrément déplacée qui a enflammé les internautes, sans oublier leur égérie Kim Kardashian qui a clairement fait savoir son désaccord avec le message de la marque.
H&M – Coolest Monkey in the jungle
La marque de prêt-à-porter H&M a créé un bad buzz retentissant qui s’est transformé en véritable cas d’école. En publiant une photo d’un jeune garçon noir portant un sweat-shirt avec l’inscription « Coolest Monkey in the Jungle », la marque a suscité des critiques pour son insensibilité et son manque de conscience. Une vague d’indignation et de boycott s’en est suivie. En conséquence, The Weekend a pris ses distances en affirmant qu’il ne collaborerait plus jamais avec H&M.
Numericable – Le roi du cliché sexiste
La campagne d’affichage de Numéricable a déclenché la colère en raison de son caractère offensant envers les femmes. Même après le retrait immédiat de la campagne, les retombés de celle-ci ont été négatifs pour l’entreprise, et ce n’est pas tout ! Ils ont même décliné l’affiche avec un slogan qui vise les hommes : « Téléchargez aussi vite que votre homme oublie ses promesses. » Double dose de sexisme, bravo ! On dirait qu’ils ont vraiment réussi à se mettre à dos tout le monde en un temps record.
Twingo – Les femmes, des dangers au volant
La marque automobile Twingo a réussi l’exploit de se retrouver dans une tempête de critiques avec sa campagne publicitaire sexiste. Ils ont osé dépeindre les femmes comme de piètres conductrices qui se garent n’importe où. Pas besoin de vous dire que cette approche dégradante n’a pas du tout été appréciée par le public, qui a clairement exprimé son mécontentement en appelant au boycott de la marque.
Franchement, on se demande ce qui leur est passé par la tête. Écrire au rouge à lèvres sur une serviette hygiénique ? Sérieusement ? C’est une idée tellement ridicule qu’elle en devient presque comique… mais pas vraiment dans le bon sens du terme.
Et si à l’inverse, vous désirez voir les meilleures campagnes de communication pour les femmes, allez voir notre sur Les 10 campagnes de communication originale pour la journée internationale des droits des femmes
Abercrombie & Fitch – Atttractive and Fat
Abercrombie & Fitch n’a vraiment pas brillé par sa finesse en supprimant les tailles XL et XXL de ses rayons, sous prétexte que seules les personnes minces et « cool » peuvent porter leurs vêtements, dixit Mike Jeffries, leur PDG. Évidemment, cela a suscité une réaction enflammée, d’autant plus que l’affiche osait utiliser le terme « Fat » (gros). Pas besoin de chercher bien loin pour comprendre pourquoi cette campagne a connu un bad buzz monumental. En tout cas, ce genre de comportement ringard et discriminatoire est bien loin d’être « cool ».
Bicky Burger – un mauvais choix de dessin
Bicky Burger a eu la mauvaise idée de se retrouver en plein bad buzz suite à la diffusion d’une publicité dépeignant une bande dessinée où un homme frappe une femme pour lui avoir apporté un « mauvais burger ». Une approche qui fait l’apologie des violences conjugales choquant tout le monde. Les critiques n’ont pas tardé à pleuvoir et on peut dire que cette campagne a vraiment grillé leur réputation. Franchement, une publicité qui encourage la violence, c’est vraiment le pire choix marketing qu’ils pouvaient faire. On espère qu’ils ont compris leur erreur et qu’ils feront preuve d’un peu plus de bon sens à l’avenir !
Pour conclure
En conclusion, les bad buzz de marque peuvent être dévastateurs pour l’image d’une entreprise. Il est crucial d’adopter une approche réfléchie et sensible dans les campagnes de communication pour éviter de provoquer des réactions négatives. Chez Com’ Kani, nous mettons tout en œuvre pour accompagner nos annonceurs vers une communication responsable et authentique, afin de préserver une image positive et solide auprès de leur clientèle. Ensemble, nous naviguons dans l’univers complexe des réseaux sociaux pour construire une présence en ligne durable.
